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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 10:53

49379

 

 

Nous rappelons aux consommateurs d'être très vigilants envers les démarchages téléphoniques et à domicile.

 

Lors de notre permanence d'hier, nous avons eu  le cas d'une personne âgée qui a été démarchée téléphoniquement et à domicile par une mutuelle.

 

Un contrat d'engagement a été fait signé pour cette mutuelle en usant d'un abus  de faiblesse envers cette personne qui est pourtant très vulnérable.

 

Marc MORTREUX.

 

 

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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 12:03

9Vu et mis en ligne par Marc MORTREUX. Je vous invite à lire cet article émanant de EDF Bleu ciel qui nous met en garde et qui est très intéressant pour ne pas se faire " pigeonner ".

 

Des pirates informatiques envoient en ce moment à nos clients des emails frauduleux, des SMS malveillants et des spams vocaux afin de récupérer leurs informations personnelles.
Cette méthode s’appelle le phishing, soyez très vigilant !
 
Qu'est ce que le phishing ?

Le phishing (ou hameçonnage) est un mode opératoire malveillant, utilisé par des pirates informatiques, destiné à récupérer vos données personnelles afin de vous soutirer de l'argent. Leur objectif est de récupérer des données telles que :

les données d'accès à votre espace Client EDF Bleu Ciel,
votre numéro de carte bancaire, RIB, adresse,
ou encore votre numéro de carte d'identité...
A cet effet, des emails frauduleux, des SMS ou des spams vocaux sont envoyés en masse et de manière aléatoire par des personnes malveillantes qui se font passer pour des grandes sociétés (comme EDF par exemple) ou des banques.


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Comment reconnaître une tentative de phishing ?

Faites bien attention à :
L'adresse email complète de l'expéditeur. La nôtre se termine obligatoirement par : @edf.fr ou @edf.com
L'adresse du site Internet dans la barre de navigation. La nôtre se termine toujours par : edf.fr ou edf.com
L'adresse de votre espace Client. La nôtre est sécurisée et commence par /monagence.edf.fr ou /monagencepart.edf.fr et non pas http

L'orthographe et au style des messages que vous recevez.
La présence du cadenas sur les pages de formulaires ou de paiement en ligne. Il vous garantit une navigation sécurisée
Toutefois, si vous utilisez un smart phone, il vous sera difficile de détecter si l'email est frauduleux ou pas, car il est rare que l'adresse dans le champ "expéditeur" soit complète. Dans ce cas, faites attention à l'adresse du site présente dans la barre de votre navigateur
Important : EDF vous demande vos coordonnées bancaires (numéro de compte, numérode carte bancaire, cryptogramme) uniquement dans votre espace Client pour souscrire au prélèvement automatique ou payer votre facture  par carte bancaire.

Exemple de site frauduleux :  cliquez pour agrandir

 

Exemple d'email frauduleux :  cliquez pour agrandir

 



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Que faire en cas de tentative de phishing ?
Ne répondez pas aux emails ou aux SMS douteux et ne les tranférez pas
Ne remplissez pas les données qui vous sont demandées
Ne cliquez pas sur les liens ou les boutons et n'ouvrez pas les pièces jointes
Détruisez immédiatement l'email ou le SMS
Pensez à mettre à jour le système de sécurité de votre ordinateur

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Que faire si vous avez répondu à un message frauduleux ?
Faites immédiatement opposition à votre banque
Modifiez votre mot de passe directement dans votre Espace Client
Toutefois, si vous n'arrivez pas à vous connecter à votre Espace Client, cliquez sur le lien ci dessous pour recevoir votre mot de passe par email : Recevoir mon mot de passe

Bon à savoir
Si vous êtes victime d'une tentative d'escroquerie par SMS, vous pouvez signaler le message abusif en le transférant au 33700. Vous recevrez en retour un SMS du 33700 vous demandant de préciser le numéro à partir duquel ce message frauduleux vous a été envoyé.

Bouygues, Orange et SFR étant à l'initiative de ce service, il est gratuit pour leurs clients.

En revanche, si vous êtes abonné chez un autre opérateur, vous devrez payer le coût d'un SMS.

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 15:56
9Vu et mis en ligne par Marc MORTREUX.
Le taux du Livret A restera inchangé le 1er février

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 12.01.12 | 11h13 •

  
 

 

La Banque de France souligne que le glissement annuel des prix à la consommation hors tabac a atteint 2,4 % en décembre mais qu'il "devrait diminuer de façon significative dans les prochains mois".

La Banque de France souligne que le glissement annuel des prix à la consommation hors tabac a atteint 2,4 % en décembre mais qu'il "devrait diminuer de façon significative dans les prochains mois".AFP/MYCHELE DANIAU

Le gouvernement va maintenir inchangé le taux du Livret A à 2,25 %, conformément à la recommandation de la Banque de France et en dépit de l'inflation qui aurait dû conduire à son relèvement à 2,75 % au 1er février. Dans un communiqué publié jeudi 12 janvier, le ministre de l'économie François Baroin affirme vouloir "appliquer la recommandation du gouverneur de la Banque de France" Christian Noyer "afin d'éviter une volatilité excessive" du taux du Livret A.

"L'application mécanique de la formule de calcul des taux de l'épargne réglementée conduirait à accroître le taux de rémunération du livret A à 2,75 %, avait fait savoir la banque centrale plus tôt dans la matinée . Toutefois, compte tenu des perspectives de baisse de l'inflation, afin d'éviter une volatilité excessive du taux du Livret A, Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, a décidé de déroger à la stricte application de la formule de calcul en vigueur, ainsi que le règlement en prévoit la possibilité." Le calcul des taux de ces livrets intervient le 15 janvier et le 15 juillet et résulte d'une formule qui prend en compte les taux de marché et l'inflation.

La BF souligne que le glissement annuel des prix à la consommation hors tabac a atteint 2,4 % en décembre mais qu'il "devrait diminuer de façon significative dans les prochains mois".

 

Source: link

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 17:40
49379Vu et mis en ligne par Marc MORTREUX.

 

 

tva-sociale

La TVA, la recette la plus importante de l'Etat

Créée en 1954, la Taxe sur la Valeur Ajoutée est un impôt indirect sur tous les biens de consommation et les services. Lorsque le consommateur achète un produit, il paye une taxe à l'Etat qui est inclus dans le prix d'achat. Aujourd'hui, il existe 3 taux de TVA : 19,6% pour l'ensemble des biens de consommation, un taux réduit de 5,5% pour la nourriture, les plats à emporter et l'hôtellerie, et un taux très réduit de 2,1% pour les médicaments.
La TVA est un impôt payé par tous les consommateurs et constitue, à ce titre, la ressource la plus importante du budget de l'Etat. Plus de 45% des recettes de l'Etat proviennent du produit de la TVA alors que l'Impôt sur le Revenu ne représente que 20% sur l'ensemble des recettes, et l'impôt sur les sociétés 15%.

Promesse de campagne : valoriser le travail

Au cours de la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy n'a eu de cesse de répéter son slogan favori : "travailler plus, pour gagner plus". Fustigeant les 35 heures et la réduction du temps de travail, il a expliqué que le chômage et la faiblesse de l'économie française étaient liés au fait que les Français ne travaillaient pas assez. Tout son programme est donc tourné vers la valorisation du travail. Celle-ci passe par l'augmentation des heures supplémentaires mais aussi par la volonté de moins taxer le travail pour encourager les embauches. Moins taxer le travail signifie alléger ce qu'on appelle les charges sociales sur les entreprises. Ainsi, la plupart des entreprises acquittent l'Impôt sur les Sociétés ou la CSG, Contribution Sociale Généralisée, pour financer en partie les dépenses sociales : indemnités chômage, soins, retraite. Nicolas Sarkozy souhaiterait donc diminuer ces charges pour les entreprises afin qu'elles soient plus compétitives et qu'elles soient moins réticentes à embaucher.

Qu'est-ce qu'une TVA sociale ?

Le terme de "TVA sociale" prête à confusion car il ne s'agit en aucun cas d'une mesure sociale, c'est-à-dire d'une mesure destinée à améliorer le sort des salariés ou des classes populaires. La TVA dite sociale consiste à augmenter le taux de TVA pour que cet impôt puisse financer les dépenses sociales.
Aujourd'hui, ce sont avant tout les entreprises qui financent la protection sociale par le paiement de charges sociales. C'est la différence entre le salaire brut et le salaire net. Le salaire brut inclus toutes les charges, notamment celles payées par l'employeur, et le salaire net est le revenu réellement perçu par le salarié.
Le principe de la TVA sociale est d'augmenter le taux de TVA pour financer la protection sociale et de diminuer les charges sociales payées par les entreprises. Il s'agit donc d'un transfert de fond : la baisse des charges pour les entreprises seraient compensée par la hausse de la taxe sur les biens de consommation payés par tous. Toute la protection sociale serait alors financée par les consommateurs, donc potentiellement tout le monde, au lieu que ce soit les entreprises actuellement. Pour réaliser ce transfert de fond, il faudrait augmenter la TVA de 5 points, un point de TVA rapportant en moyenne 7 milliards d'euros supplémentaires. Ainsi, le taux de TVA passerait de 19,6% à 24,6%.

Avantages de la TVA sociale : des entreprises plus compétitives

Les partisans de la TVA sociale ont plusieurs arguments :
1. En diminuant les charges sociales des entreprises, celles-ci seront plus compétitives, elles pourront davantage embaucher et auront moins envie de délocaliser à l'étranger puisque les taxes sur les entreprises seront faibles en France.
2. Les cotisations patronales sont actuellement payées uniquement par les entreprises présentes en France. Or, avec une TVA sociale, tous les produits seront taxés, notamment ceux qui viennent de l'étranger. De cette manière, la protection sociale est financée par tout le monde, même des entreprises étrangères. Par exemple, un produit fabriqué en Chine sera taxé à hauteur de 5% pour financer l'assurance maladie des salariés français.

Inconvénients de la TVA sociale : un impôt injuste

L'instauration de la TVA sociale pose de sérieux problèmes.
1. Tout d'abord, la TVA est l'impôt le plus injuste de tous les impôts puisqu'il est payé par tout le monde au même taux, quel que soit le revenu. Ainsi, que vous soyez cadre d'entreprise ou ouvrier sans qualification, la TVA sera exactement la même pour n'importe quel produit acheté. Certes, une personne plus riche consommera davantage et paiera, indirectement, davantage de TVA qu'une personne modeste mais sur le principe, il s'agit d'un impôt injuste qui ne tient pas compte du revenu.
2. Augmenter le taux de TVA revient à augmenter le prix des produits. Le risque est donc grand de voir une baisse significative de la consommation. La consommation étant le moteur de la croissance économique, cette mesure produirait alors les effets inverses : hausse des prix, baisse de la consommation, baisse de la croissance économique, baisse de la production, augmentation du chômage.
3. Enfin, dernier inconvénient, avec cette mesure, les recettes de l'Etat pour financer les indemnités chômage, les retraites, les dépenses de maladie, deviendraient entièrement dépendantes de la croissance. Si la croissance économique venait à faiblir, les rentrées d'argent diminueraient et le déficit de l'Etat s'aggraverait encore plus rapidement que dans le système actuel.

 

Source : link

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 14:54

9vu et mis en ligne par Marc MORTREUX

 

- Publié le 03/01/2012 à 12:06 - Modifié le 03/01/2012 à 12:07


     
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    Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, s'est dit mardi en désaccord avec la TVA sociale que le gouvernement veut mettre en place avant la présidentielle, jugeant cette idée, comme celle sur les accords compétitivité-emploi, "peu réaliste et même dangereuse".

    Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, s'est dit mardi en désaccord avec la TVA sociale que le gouvernement veut mettre en place avant la présidentielle, jugeant cette idée, comme celle sur les accords compétitivité-emploi, "peu réaliste et même dangereuse".

    "On n'est pas d'accord avec ce type de démonstration" et "on ne met pas ça en place trois mois avant une élection présidentielle", a affirmé sur RTL le numéro un de FO, interrogé sur la TVA sociale.

    Cette idée, comme celle sur "les soi-disant accords compétitivité/emploi, ça ne me paraît pas très réaliste, ça me paraît même dangereux", a déclaré M. Mailly, alors que le président Nicolas Sarkozy entend aborder ces thèmes le 18 janvier lors du sommet sur l'emploi.

    "Ce n'est pas avec un ou deux points de TVA qu'on va concurrencer les produits chinois", a affirmé M. Mailly, pour qui ce débat ne peut avoir un sens qu'"au niveau de la zone euro".

    Selon lui, la TVA sociale "répond à une demande d'organismes patronaux qui veulent, pour améliorer la compétitivité, dire qu'il faut diminuer les cotisations".

    Or, a ajouté le dirigeant syndical, "le problème de la compétitivité de la France est très peu lié à la question du coût du travail". "Depuis 1990, le poids des cotisations sociales a baissé de 17 points", a-t-il souligné.

    La ministre du Budget, Valérie Pécresse, a annoncé mardi que la TVA sociale se ferait "avant l'élection présidentielle" pour "créer de l'emploi en France" et éviter que des produits importés soient vendus à "bas coûts".

     

    Source info:

    link

     

     

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    3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 16:52

    9Vu et mis en ligne par Marc MORTREUX.

     

     


    Les prix alimentaires vont rester volatils, selon la FAO

    LEMONDE.FR avec AFP | 03.01.12 | 16h08

      
     

     

    Les prix alimentaires mondiaux ont, en décembre, atteint un nouveau record.

    Les prix alimentaires mondiaux ont, en décembre, atteint un nouveau record. AFP/MYCHELE DANIAU

    Le nouveau directeur général de l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), José Graziano da Silva, a estimé mardi que les prix des produits alimentaires allaient rester volatils dans un proche avenir.
     

    "Nous nous attendons à ce que les prix n'augmentent pas mais ne baissent pas non plus rapidement, il y aura des réductions de prix mais ça ne sera pas une chute drastique, la volatilité va rester", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse.

    FAIBLES STOCKS ALIMENTAIRES

    "Les faibles stocks alimentaires créent les conditions pour la spéculation" sur les prix des produits alimentaires, a estimé le nouveau patron de la FAO, plaidant pour un renforcement de la production agricole et une augmentation des stocks.

    Lors de la publication de son indice sur les prix alimentaires en novembre dernier, la FAO avait déjà rappelé que la volatilité sur les marchés nuisait à la sécurité alimentaire mondiale. L'agence avait alors prévu un maintien des prix à un niveau élevé en 2012 et souligné que le coût de la nourriture avait augmenté de plus d'un tiers au cours de l'année passée dans les pays les plus pauvres.

    La France fait pression pour parvenir à davantage de transparence sur les marchés des produits alimentaires. Les prix alimentaires élevés sont considérés comme l'un des facteurs ayant déclenché la famine en Somalie et le Printemps arabe.

     

    Source:

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/01/03/les-prix-alimentaires-vont-rester-volatils-selon-la-fao_1625197_3234.html#xtor=RSS-3208
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    26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 16:27
    9
     

    Banque/argent - 23 décembre 2011

    Ce qui change le 1er janvier 2012

    Austérité oblige, la nouvelle année vous réserve pas mal de mauvaises surprises. Dans cet océan de hausses et d’avantages revus à la baisse, seules quelques nouveautés en matière d’environnement épargnent le portefeuille. Malgré tout, 60 Millions vous souhaite une belle année 2012 !

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    Pouvoir d’achat et prestations sociales
    • La TVA à 5,5 % passe à 7 % dans de nombreux secteurs : les travaux dans les logements achevés depuis plus de deux ans, la restauration, l’hôtellerie et tous les titres de transport (air, mer, rail et route), certains services culturels comme les livres et les services de télévision, les intrants agricoles (engrais, pesticides, médicaments vétérinaires…), les services à domicile, sauf ceux à destination des personnes handicapées.
    • La CSG et la CRDS sur les salaires augmentent : le calcul ne se fait plus 97 % mais sur 98,25 % de votre salaire.
    • Le SMIC augmente d'environ 0,3 %. Le SMIC horaire est désormais fixé à 9,22 € brut par heure travaillée, soit 1 398,37 € par mois.
    • Le revenu de solidarité active (RSA) est revalorisé de 1,7 %. Il passe de 466,99 € à environ 474 € par mois pour une personne seule sans enfant.
    • Les aides personnelles au logement (AL) sont revalorisées de 1 %.

    A venir : La revalorisation des prestations familiales et des prestations vieillesse aura seulement lieu au 1er avril. On sait déjà que les plafonds de ressources ouvrant droit aux prestations familiales seront revalorisés de 1 %.

    Alimentation
    • Une nouvelle taxe touche les alcools de plus de 18 degrés.
    Santé
    • La taxe sur les contrats de santé double. Conséquence : il faut s’attendre à une augmentation de l’ordre de 4,7 % des mutuelles.
    • Un jour de carence est instauré pour les fonctionnaires en arrêt maladie.
    • Les indemnités journalières d’arrêts maladie remboursées par l’Assurance maladie baissent pour les salaires supérieurs à 2450 € brut, soit 1,8 Smic, si l’entreprise ne compense pas.
    • Le plafond de revenus ouvrant droit à l’aide à la complémentaire santé (ACS), qui aide les ménages les plus démunis à souscrire un contrat d’assurance maladie complémentaire (mutuelles, assurances), va augmenter de 35 %.
    Transport
    • Le tarif des transports en Ile-de-France va augmenter de 1,5 %, suite à la hausse de la TVA.
    • L’application du bonus-malus automobile devient plus sévère. Le bonus est réservé aux véhicules émettant moins de 105 g de CO2/km, contre 110 g en 2011. Son montant s’élève à 100 € entre 105 g et 90 g, et à 400 € entre 90 et 60 g. La zone sans bonus ni malus se situe entre 105 et 140 g de CO2. Au-delà, les véhicules sont soumis à un malus : 200 € jusqu’à 151 g de CO2, 500 € jusqu’à 156 g et 750 € jusqu’à 181 g. Ensuite, le régime a été durci, avec des malus qui vont de 1 300 à 3 600 €. Le super-bonus versé en cas d’acquisition d’un véhicule propre et de mise au rebut d’un vieux véhicule de plus de 15 ans passe de 300 à 200 €.
    Energie
    • Les tarifs du gaz augmentent de 4,4 % pour les particuliers.
    • Le tarif social du gaz et de l’électricité est revalorisé de 10 %. Par exemple, un foyer de quatre personnes se chauffant au gaz verra sa facture réduite au maximum de 156 € par an, contre 142 €.
    • Les crédits d’impôts accordés pour les travaux d’économie d’énergie sont rabotés de 15 %. Le crédit d’impôt pour un chauffage au bois passe, par exemple, de 22 à 18 %, et de 36 % à 31 % en cas de renouvellement d’un appareil existant. Le crédit d’impôt pour le photovoltaïque passe de 22 à 13 % et pour le solaire thermique (chauffe-eau et système solaire combiné) de 45 à 38 %. Pour les pompes à chaleur aérothermiques air/eau, il passe de 22 % à 18 %.
    • Le diagnostic de performance énergétique (DPE) s’améliore : les diagnostiqueurs doivent fournir aux particuliers un relevé détaillé afin d’expliciter les données renseignées dans le diagnostic et remettre un document officiel qui limitera le risque de « faux » DPE.
    Immobilier
    • Dans le cadre du dispositif Scellier, le taux de la réduction d’impôt passe de 22 à 13 % pour l’investissement dans des logements répondant à la norme Bâtiment basse consommation (BBC). L’acquisition de logements ne répondant pas à la norme BBC ne bénéficie plus d’aucune réduction d’impôt, sauf si la demande de permis de construire a été déposée avant le 31 décembre 2011.
    • En zone urbaine, le permis de construire n’est plus obligatoire pour les surfaces allant jusqu’à 40 m2, contre 20 m2 auparavant. Même chose pour toute modification du volume d'une construction entraînant le percement d'un mur extérieur, quelle que soit la surface créée. En revanche, le permis de construire reste obligatoire pour les projets d’extension compris entre 20 et 40 m2 qui ont pour effet de porter la surface totale de la construction à plus de 170 m2 et pour lesquels le recours à un architecte reste obligatoire.
    • Dans les zones où les locations font défaut (notamment Paris), les propriétaires qui louent un logement nu ou meublé d’une surface égale ou inférieure à 14 m2 et à un prix au-dessus de 30 à 45 €/m2 devront verser une surtaxe sur les loyers perçus de l’ordre de 10 à 40 %.

    A venir : Au 1er février, l’imposition sur les plus-values réalisées lors de la vente d’une résidence secondaire sera renforcée : il faudra attendre 30 ans au lieu de 15 ans pour bénéficier d’une exonération.

    Epargne
    • Le prélèvement forfaitaire libératoire sur les dividendes et les intérêts est porté à 24 %, contre 19 % aujourd’hui. Cette mesure concerne les revenus de l’ensemble des produits d’épargne (à l’exception du livret A, du LDD et du LEP) et du patrimoine du foyer fiscal lorsque ce dernier n’opte pas pour l’intégration de ces rémunérations dans sa déclaration de revenus.
    Environnement
    • Une nouvelle étiquette énergie est désormais apposée sur les appareils de froid, lave-linge, lave-vaisselle et téléviseurs. Trois nouvelles classes distinguent les appareils performants, actuellement en catégorie A : de A+, pour les moins sobres, à A+++, pour les plus sobres en énergie. La consommation annuelle moyenne d’énergie ainsi que certaines caractéristiques comme le volume sonore sont désormais affichés. l'Ademe publie un guide explicatif sur ce sujet.
    • Les produits de construction et de décoration sont désormais vendus avec une étiquette « santé environnementale » signalant leur niveau d’émission de polluants volatils. Cette étiquette comporte une note allant de A+ (très faibles émissions) à C (fortes émissions).
    • Le volume sonore des publicités diffusées à la télé baisse, suite à une délibération du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA).
    Vu sur le site:
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    23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 18:26
    9Les hausses d'impôt touchent surtout les plus modestes

    LEMONDE | 23.12.11 | 12h02 • Mis à jour le 23.12.11 | 17h40

    •  
     
     

     

    La taxe sur les mutuelles pourrait entraîner une recrudescence du renoncement aux soins.

    La taxe sur les mutuelles pourrait entraîner une recrudescence du renoncement aux soins.AFP/STEPHANE DE SAKUTIN

     

    Réduction du déficit public oblige, les Français risquent fort de sentir passer l'année 2012. Les quatre lois de finances approuvées cette année (le budget 2012 de l'Etat, celui de la Sécurité sociale, les deux collectifs budgétaires de 2011) comportent en effet une ribambelle de hausses d'impôt.

    Certaines sont fortes, d'autres moins. Une chose est sûre : le dogme présidentiel de la non-augmentation globale des impôts, sur lequel s'est arc-bouté Nicolas Sarkozy, a été remis en cause avec la hausse quasi générale du taux réduit de TVA et le gel des barèmes de l'impôt sur le revenu, de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), des donations et des successions. De ce fait, 200 000 personnes deviendraient imposables alors qu'elles ne le sont pas aujourd'hui.

    Critiqué par la gauche pour les "cadeaux fiscaux" de la première partie du quinquennat, le gouvernement s'est efforcé d'allumer des contre-feux dans le débat budgétaire. Ainsi a-t-il mis en avant la création d'une contribution de 3 % ou 4 % sur les hauts revenus (à partir de 250 000 euros par part). Elle touchera environ 25 000 contribuables et devrait rapporter 410 millions d'euros en 2012.

    La réforme de l'abattement sur les plus-values immobilières (hors résidence principale), la hausse de 1,2 % des prélèvements sociaux sur les revenus du capital, l'augmentation du taux du prélèvement forfaitaire libératoire de 19 % à 21 % sur les dividendes et de 19 % à 24 % sur les intérêts, la suppression du dispositif Scellier sur l'investissement locatif ont été présentées par la ministre du budget comme des avancées sur le terrain de l'équité.

    On ne peut en dire autant de la réforme de l'ISF décidée à la suite de la suppression du bouclier fiscal. Le relèvement du seuil d'assujettissement à l'ISF, de 800 000 euros d'actif net taxable à 1,3 million, exonérera 300 000 ménages et la réduction du nombre des tranches et de leur taux coûtera in fine 1,8 milliard à l'Etat.

    TAXE SUR LES MUTUELLES

    Les hausses d'impôt sont loin d'être circonscrites aux plus aisés qui, pendant quatre des cinq années du quinquennat, ont vu leur imposition allégée du fait du bouclier fiscal, tout en bénéficiant de revenus en forte hausse (contrairement aux classes moyennes et populaires).

    Parmi les hausses frappant particulièrement les plus modestes, qui feront aussi les frais de la désindexation partielle des prestations familiales et des aides au logement, figurent l'augmentation des prix du tabac de 6 % en 2011 et en 2012, la création d'une taxe sur les boissons sucrées et le gel du barème de l'impôt sur le revenu.

    D'autres augmentations concerneront la quasi-totalité des contribuables salariés : tel est le cas de la taxe sur les mutuelles – qui, selon la gauche, conduira à une recrudescence du renoncement aux soins –, de la hausse du forfait social de 6 % à 8 % sur les revenus exonérés de cotisations sociales, de la suppression ou de la réduction des dérogations en matière de contribution sociale généralisée (CSG).

    La hausse quasi-générale du taux réduit de TVA de 5,5 % à 7 % frappera proportionnellement davantage les plus modestes, même si elle ne s'applique pas aux produits alimentaires, à l'énergie, aux biens et services destinés aux handicapés et aux cantines scolaires. Elle rapportera 1,8 milliard d'euros en 2012. C'est ce qu'a coûté l'allégement de l'ISF.

     

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    22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 17:42
    Total, champion des profits… et des augmentations

    Cette, année, pour les salariés de Total, le Père Noël n’a pas une barbe blanche, mais une moustache en pétard. Le PDG du groupe, Christophe de Margerie, a accordé à ses troupes un accord salarial 2012 qui va faire saliver chez ses pairs du CAC 40. La masse salariale augmentera de 3,4 % et chacun touchera une prime de 1200 euros. Etre le champion français des profits procure des marges de manœuvre. La difficulté consiste à bien placer le curseur pour que la juste répartition des profits ne se transforme pas en puits sans fond.

    Les 3,4% négociés, mardi 20 décembre, entre la direction et les syndicats n’ont l’air de rien, mais le chiffre représente près de 40% de plus que ce que s’apprêtent à verser les grandes entreprises françaises, selon une étude publiée en octobre par le cabinet de ressources humaines Mercer. Quand on sait que l’inflation devrait atteindre 1,7% et que 55% des Français anticipent une baisse de leur pouvoir d’achat, selon le baromètre Viavoice-BPCE, on se dit qu’il fait bon être chez Total.

    Le pétrolier s’est donc payé en plus le luxe d’annoncer le versement d’une prime de 1200 euros à chacun des 17000 salariés des branches raffinage et exploration-production. Une sorte de pied de nez à la prime Sarkozy sur les dividendes. Ceux-ci n’ayant pas augmenté chez Total en 2011, le groupe n’était pas éligible à cette mesure. Verser malgré tout cette enveloppe, dont le montant dépasse très largement ce qu’ont versé en moyenne les entreprises obligées de le faire, revient à dire aux pouvoirs publics : «Gardez vos conseils de générosité pour vous, les entreprises savent faire de la redistribution par elles-mêmes quand elles en ont la possibilité!»

    Les grincheux diront que cela revient à acheter la paix sociale. Il est vrai que, mis à part quelques bémols de circonstance, les syndicats ne se sont pas fait prier pour parapher l’accord, CGT en tête.

    Néanmoins, Total aurait pu difficilement faire moins. Les bénéfices de 2011, même s’ils n’atteindront pas le record historique toutes catégories de 2008, devraient avoisiner les 12 milliards d’euros.

    Ces montants sont tellement disproportionnés par rapport au reste de l’économie française, qu’ils ouvrent la porte à toutes les démagogies, à toutes les convoitises et à toutes les jalousies. Mais il ne faut pas oublier que les investissements sont à peu près du même ordre de grandeur que les bénéfices. Total peut plus que les autres, mais ne peut pas tout.

     

    Total, champion des profits… et des augmentations Cette, année, pour les salariés de Total, le Père Noël n’a pas une barbe blanche, mais une moustache en pétard. Le PDG du groupe, Christophe de Margerie, a accordé à ses troupes un accord salarial 2012 qui va faire saliver chez ses pairs du CAC 40. La masse salariale augmentera de 3,4 % et chacun touchera une prime de 1200 euros. Etre le champion français des profits procure des marges de manœuvre. La difficulté consiste à bien placer le curseur pour que la juste répartition des profits ne se transforme pas en puits sans fond. Les 3,4% négociés, mardi 20 décembre, entre la direction et les syndicats n’ont l’air de rien, mais le chiffre représente près de 40% de plus que ce que s’apprêtent à verser les grandes entreprises françaises, selon une étude publiée en octobre par le cabinet de ressources humaines Mercer. Quand on sait que l’inflation devrait atteindre 1,7% et que 55% des Français anticipent une baisse de leur pouvoir d’achat, selon le baromètre Viavoice-BPCE, on se dit qu’il fait bon être chez Total. Le pétrolier s’est donc payé en plus le luxe d’annoncer le versement d’une prime de 1200 euros à chacun des 17000 salariés des branches raffinage et exploration-production. Une sorte de pied de nez à la prime Sarkozy sur les dividendes. Ceux-ci n’ayant pas augmenté chez Total en 2011, le groupe n’était pas éligible à cette mesure. Verser malgré tout cette enveloppe, dont le montant dépasse très largement ce qu’ont versé en moyenne les entreprises obligées de le faire, revient à dire aux pouvoirs publics : «Gardez vos conseils de générosité pour vous, les entreprises savent faire de la redistribution par elles-mêmes quand elles en ont la possibilité!» Les grincheux diront que cela revient à acheter la paix sociale. Il est vrai que, mis à part quelques bémols de circonstance, les syndicats ne se sont pas fait prier pour parapher l’accord, CGT en tête. Néanmoins, Total aurait pu difficilement faire moins. Les bénéfices de 2011, même s’ils n’atteindront pas le record historique toutes catégories de 2008, devraient avoisiner les 12 milliards d’euros. Ces montants sont tellement disproportionnés par rapport au reste de l’économie française, qu’ils ouvrent la porte à toutes les démagogies, à toutes les convoitises et à toutes les jalousies. Mais il ne faut pas oublier que les investissements sont à peu près du même ordre de grandeur que les bénéfices. Total peut plus que les autres, mais ne peut pas tout.

     

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    17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 15:26
    Attention, jouets dangereux : tour d’horizon et conseils d’usage

     

     
    Jupiter
    attention, cadeaux dangereux : petite fille tenant un cadeau de noël devant son sapin

    A un mois des fêtes de fin d'année, 60 millions de consommateurs révèle que sur 66 jouets testés, 30 contiennent des substances chimiques potentiellement dangereuses, dans son magazine de décembre à paraître mardi 24 novembre. Des figurines aux poupées en passant par les jouets en bois, les déguisements et le maquillage, l'organisme a détecté la présence des métaux lourds, de substances chimiques ou de colorants.

     

    Deux grandes familles de substances chimiques - les phtalates et le formaldéhyde, ont été détectées dans les jouets en plastique, les jouets en bois et les poupées. Ces dernières se distinguent particulièrement, avec Dora l'Exploratrice et Swimmer Beedibies, qui contiennent les "phtalates les plus préoccupants [...] à des taux toutefois inférieurs aux seuils fixés par la réglementation"........................................

     

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